<< Voici mon Corps, prenez et mangez...>>
Bonjour, petit frère,
O Jésus, Tendresse éternelle,
D'ou jaillit la croix,
O Jésus, amour éternel, nous menant
Au coeur même de la vie de Ta vie,
O Ame de mon âme,
Sois béni pour tout ce que Tu es...
Près de Toi, mes pas s' affermissent,
Et Tu traces la voie que Tu décides pour mon âme,
O délice du Ciel, anéantissant mon coeur en Ton coeur,
Tu me rends avide de Ta Présence..
La certitude de Ton espérance...
O Vie de ma vie,
O Pauvreté de ma Pauvreté,
Je n' ai d' autre habit que Toi....
Je sais que Tu m' aimes d'un amour ineffable,
Et que nul ici ne peut atteindre,
O doux Adoré
Que n' ai-je d' autre souci que Toi !!!
O Jésus, Tendresse éternelle,
D' où jaillit l' amour,
O Jésus, Douceur éternelle, nous illuminant de la Vie,
Au coeur même de la Parole,
Tu nous mènes vers la Béatitude,
O Coeur de mon coeur,
Sois sanctifié pour la délicatesse de Ton coeur,
Avec Toi, je vis dans la contemplation de ton Corps,
Et Tu me gratifies de Ta grâce.
Tu m' immerges dans le Saint des saints,
En Ton coeur, en Ton âme, je me réfugie,
O doux Solitaire, je Te parle, et Tu me réponds,
En m' enseignant la vocation de l' amour,
O Toi, le Saint des saints,
Tu m' ouvres la porte du tabernacle,
Pour que s' illumine mon âme de ta clarté,
Je rencontre l' humilité et la pauvreté,
O doux Adoré
Que n' ai-je d' autre souci que Toi !!!
O Jésus, Tendresse éternelle,
D' où jaillit la Lumière,
O Jésus, Splendeur du Père nous invitant en ta vie
Au coeur même de la Cène
Je T' offre mon coeur et mon âme,
O Esprit de mon esprit,
Sois loué pour tant de bienveillante miséricorde,
Par Toi, je pénétre tes saintes plaies,
Et Tu te déverses en un ruisselet de Sang précieux,
Tu me convies à la noce de l' Agneau Immolé,
En Tes mains, je suis Tienne,
O doux Messager du Père,
Tu ériges en mon âme les murs de Ta demeure,
O Origine de l' Origine, Verbe incarné,
Tu m' offres d' accomplir Ta volonté,
Afin que Ton coeur soit glorifié en mon coeur
O doux Bien-aimé
Que n' ai-je d' autre souci que Toi !!!
Déo Gratias !!!!
N' est-ce pas, petit frère ???
Marie-do
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En Jésus tout amour
« Ô Jésus, Tendresse éternelle... »
Parce que de toujours à toujours Tu fus !
Tu fus et Tu es !
Tu es et Tu seras….
Jusqu’à la fin des temps.
« Ô Jésus, Tendresse éternelle.... »
Parce que Dieu est au-dessus de tous.
Il nous créa à son image !
Il nous donna sa loi.
Prophètes pour parler en son nom.
Apôtres qui annoncent l’ Évangile.
La Promesse s’ annonce !
La Promesse se réalise !
La promesse est vivante en Jésus don de Dieu.
Jusque dans nos âmes.
« Ô Jésus, Tendresse éternelle... »
Parce que Jésus n’ est pas périphérique !
Il n’ attend pas le bon vouloir du monde,
Qui ne le voit que lorsqu’ il en a besoin.
Alors, se succèdent prières et neuvaines.
Alors, on le célèbre un peu pas habitude.
Dieu ne se voit pas,
Dit-on alentour de nous !
Mais Dieu est vivant en l’ âme.
Cela il faut le vivre.
Seul Jésus peut nous le faire vivre.
Jusqu’ en la confiante prière.
« Ô Jésus, Tendresse éternelle... »
Alors, l’ âme ose entrer dans le Christ.
Vivant et ressuscité, présence réelle en elle.
Il se laisse approcher !
Il se laisse toucher.
L’ âme se laisse guider par l’ Esprit.
Lui seul connaît ce qui est bon pour elle,
Car entrant dans Jésus, elle embrasse son Église.
Jusque sur ses parvis où attendent les âmes.
« Ô Jésus, Tendresse éternelle... »
Alors, la tendresse éternelle vient te saisir la main.
Elle la pose dans le flanc transpercé.
La main se laisse glisser dans la divine plaie.
Elle ne souffre pas en l’ éperdu pardon.
Elle se ferme sur le monde et s’ ouvre sur l’ Esprit.
C’ est elle, l’ humiliée, que le Seigneur appelle.
Il lui est donné de pénétrer Jésus,
Au plus profond de ses meurtrissures ;
D’ être ainsi recouverte du divin sang précieux ;
Pour aller dire au monde, incrédule parfois ;
Qu’ Il est ressuscité et puis qu’il nous attend,
Jusque dans Tampico où se cultive l’ amour.
« Ô Jésus, Tendresse éternelle... »
Car il n’ est point besoin de titres ou d’ habits chamarrés.
Ce sont distinctions vaines qui ne flattent que le monde.
L’ amour ne s’ étale pas !
L’ amour se vit !
L’ amour qui est discret, se laisse découvrir.
Les yeux qui pétillent de bonheur sont un vibrant témoignage.
L’ âme qui se mire dans la croix y puise la tendresse.
Le bonheur est visible de toutes les âmes qui aiment.
Elles ne savaient pas que c’ était çà, l’amour.
Qu’ elles faisaient partie de l’ Église édifiée.
De celle qui s’ édifie toujours.
Jusque dans les recoins de l’ âme pour l’investir de Dieu.
« Ô Jésus, Tendresse éternelle... »
La tendresse éternelle habite dans ton âme.
Comment pourrait-elle résister face à autant de grâces ?
Comment pourrait-elle maintenant oublier les exclus ?
Comment pourrait-elle laisser les âmes s’ enfoncer
dans la nuit ?
Elle a tout reçu !
Alors, elle va donner !
Plus qu’elle ne peut imaginer !
L’âme n’a pas à rougir du péché pardonné,
Que l’ être lui étale,
Que les institutions dénoncent,
Car c’ est Dieu qui fait vibrer l’ amour.
L’ âme qui aime est au-dessus de tout,
Elle est en face du Fils !
Rien qu’ en face de Lui !
Il ramène la brebis dans l’ enclos de l’ amour,
Là où les âmes l’ attendent pour prendre le repas,
Celui que Jésus offre à tous.
Jusque dans les recoins où se cachait la nuit.
Alors,
La louange se déverse de l’ âme.
Elle était comprimée par :
« Je n’ en suis pas digne... »
Il fallait que se taise ce qui revient à Dieu.
Alors, le délateur a posé chausse-trappes.
Il ne fallait surtout pas qu’ elle court à la croix,
Décharger le fardeau qui blessait ses épaules.
Celles sur lesquelles se pose la croix divine.
Mais Jésus l’ a sauvée, alors, elle se libère.
Le Père l’ a faite louange ?
« Alors, merci Seigneur d’ écouter ma louange...
Même si elle est muette.
Car Tu sais bien que je ne suis pas parleur ;
D’ ailleurs, je n’ ai pas de mémoire pour me souvenir
des mots,
Qui provoquent tant d ’effets dans toutes les assemblées ;
Car je laisse tout en moi enfoui pour le Maître.
Alors, l’ Esprit saisit toutes les beautés de l’ âme ;
Et , dans son silence, Il va l’offrir au Père. »
La croix te fait entrer dans la tendresse du Fils,
Pour une toute petite âme pécheresse mais aimante.
Sang éternel que Dieu, dans sa tendresse a réservé à l’ âme.
Unie à la nature divine par Jésus en sa croix.
PS :
Afin de rendre grâce à la tendresse éternelle,
je vous propose une prière commune
pour Marc et Denise qui fêtent leurs 70 ans de mariage
aujourd’ hui
Chacun à son poste pour la gloire de Dieu !
Bonne fête Bruno,
Et bienvenue à Anne, Orian et Marc !
Daniel en Jésus Eucharistie
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